HEC-Ecole de gestion

Dès la rentrée prochaine, Thomas Froelicher, actuel directeur général et doyen de HEC-Ecole de gestion de l’ULg, s’envolera vers le sud de la France. Après six années passées à Liège, il prendra en effet la direction de la KEDGE Business School, née en 2013 de la fusion entre les Grandes Ecoles de management de Bordeaux et de Marseille-Provence, BEM et Euromed Management.

« Je suis assez fier de l’évolution de HEC-ULg, avoue-t-il sans ambages. Je pense que l’Ecole a maintenant acquis une place dans le concert des Grandes Ecoles de gestion européennes. La fusion est réussie et nous avons défini, avec l’ensemble des chercheurs, nos pointes d’excellence, ce qui a permis d’accroître sa visibilité. Un bel exemple de développement est certainement le Centre d’économie sociale qui a encore gagné en notoriété et qui multiplie les projets de recherche internationaux. » Alors, pourquoi partir ?

« Je vais rejoindre la KEDGE Business School, un pied à Marseille, un pied à Bordeaux, une main à Toulon (une école de designers) et une autre à Shanghai ! C’est l’une des Business School françaises, qui non seulement est la plus présente en Asie mais qui a aussi des intérêts en Afrique et, bientôt peut-être, en Amérique. Me voir confier les rênes de son développement est une très belle opportunité, même si elle arrive un peu tôt peut-être pour l’Ecole car il me restait deux ans de mandat à accomplir… J’ai été séduit par ce nouvel enjeu : conforter une école de gestion multipolaire en s’appuyant sur l’essor du digital. »

Le recrutement du nouveau directeur général et doyen de HEC-ULg sera bientôt lancé conformément aux statuts de l’Ecole. Avec en point de mire, pour le futur directeur (ou la nouvelle directrice), l’obtention des deux accréditations majeures : ACBS et Equis. Et ce, afin de placer HEC-Ecole de gestion de l’ULg dans le top 50 des Business School européennes.