Janvier 2015 /240
Qui est-ce?Luc Schmitz Directeur de la cellule forêts et voiries (ARI)
5 dates1er octobre 1978 Mon entrée en 1re candidature à la Faculté agronomique de Gembloux, option “eaux et forêts”. La nature est un élément essentiel dans ma vie, depuis l’enfance. Je garde de mes études de bons souvenirs des cours des Prs Paul Roisin (sylviculture) et Jacques Rondeux (dendrométrie). 1er septembre 1996 Le jour où j’intègre l’administration des ressources immobilières (ARI) de l’ULg (dirigée alors par Joseph Halleux) en tant qu’ingénieur agronome. Avec pour mission principale la gestion forestière du domaine du Sart-Tilman et des espaces verts de l’ULg. A l’époque, mes journées se déroulaient essentiellement sur le terrain : programmation et suivi de l’élagage, maintenance des chemins (parfois réouverture de certains sentiers), tailles diverses, etc. 16 octobre 1997 Le jour où l’ULg a reçu l’agrément pour la réserve du Sart-Tilman, donnant ainsi un statut officiel à cette réserve de 220 ha (soit près d’un tiers du campus) pour 30 ans. Cet agrément constitue une sanction positive d’une grande opération effectuée par mon équipe ; je pense notamment à toute la cartographie du domaine. 22 février 2000 Un souvenir désagréable : la pollution du ruisseau du Blanc Gravier survenue suite à un rejet accidentel de désinfectant utilisé par un sous-traitant du MET (de l’époque) pour le nettoyage de la conduite d’eau Eupen-Seraing. Un “mur” de mousse de 2 m de hauteur avait couvert les 2,5 km du ruisseau avant de se répandre sur l’Ourthe jusqu’à Chênée. 1er janvier 2015 Aujourd’hui, je dirige une équipe de 18 personnes (dont la moitié travaille dans l’ASBL Les Amis du domaine) qui assure la gestion du domaine et le suivi des chantiers que nous confions parfois à des entreprises privées. Mais notre mission s’étend maintenant à tous les “espaces extérieurs” de l’ULg, soit les voiries et les parkings. En outre, la gestion des déchets “communs” nous a également été confiée. 1 lieuLa forêt du Ried, dans la vallée du Rhin, visitée lors d’un voyage d’études en 1984. Les chênaies en particulier y ont un dynamisme exceptionnel en zone tempérée en raison de la richesse trophique du sol et du régime d’inondations. Elles m’ont également montré le caractère bien moins interventionniste de la sylviculture menée par l’Office national des forêts allemand, si on la compare à la pratique en Wallonie. 1 objetMes jumelles ! Elles font partie de mon quotidien, toujours à portée de main, dans ma vie professionnelle, comme dans ma vie d’ornithologue amateur…
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