Novembre 2016 /258

Michaël Sarlet

Chef technicien en faculté de Médecine vétérinaire

5 DATES

SarletMichael20 MAI 1995

Après un graduat en chimie clinique, je suis engagé dans le service de pathologie générale en faculté de Médecine vétérinaire. Je prépare les lames d’histologie à partir des échantillons que l’on me soumet. Ces préparations – quelques centaines par an – forment la base du diagnostic et sont analysées par les chercheurs, puis utilisées dans les publications scientifiques. Elles forment aussi une matière première dans les TP des étudiants. À l’époque, l’opération était essentiellement manuelle.

1ER FÉVRIER 1996

Pendant deux ans, je participe à une recherche subventionnée par la Région wallonne avec Daniel Desmecht, chargé de cours à l’époque, et Éric Jacquinet, alors doctorant. Il s’agissait de comprendre pourquoi les bovins “Blanc Bleu Belge” souffraient d’emphysème pulmonaire. Je fréquentais assidûment l’abattoir de Bois-et-Borsu pour collecter les poumons… C’est aussi le moment où le laboratoire acquiert un ordinateur avec un programme d’analyse d’images.

1ER JANVIER 2005

Je deviens responsable de l’animalerie et signe un CDI. J’assume désormais de nombreuses charges administratives dans le service (gestion des commandes, devis fournisseurs, interactions représentants, etc.).

30 SEPTEMBRE 2015

Le Pr Freddy Coignoul prend sa retraite. C’est un moment important pour moi aussi, car non seulement il a été à la base de mon engagement mais il m’a accompagné pendant 20 ans.

1ER NOVEMBRE 2016

Le laboratoire de diagnostic d’histologie-pathologie déménage – dans le même couloir, heureusement ! – afin de se rapprocher de celui de diagnostic de biologie moléculaire du Pr Desmecht. Le tout en prévision du nouveau centre de recherche FARAH.
Aujourd’hui, le laboratoire traite environ 6000 échantillons par an et notre base de données comprend plus de 3500 lames histologiques.
Elles sont désormais scannées et mises à disposition des enseignants et des étudiants sur internet.

1 LIEU

L’Alsace, sans hésiter ! J’y fais de fréquents séjours, près de Colmar notamment. Pour faire des balades dans la nature et goûter le bon vin…

1 OBJET

Ma voiture. Non pas parce que j’y attache de l’importance mais parce qu’elle est hélas absolument nécessaire pour faire les 30 km qui séparent le Sart-Tilman de mon domicile.

Photo : J.-L. Wertz
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