Malgré les gros efforts fournis ces dernières années pour diminuer son impact sur l’environnement, la culture de la banane repose encore sur un modèle agro-industriel gourmand en produits chimiques. Une culture plus intégrée, moins intensive, faisant appel à des méthodes plus douces et à des interventions assez simples sur la morphologie de la plante pendant sa croissance, peut limiter les atteintes à l’environnement. C’est à quoi s’attelle l’unité de phytopathologie de ULg-Gembloux Agro-Bio Tech qui en appelle aussi à la responsabilité du consommateur. Lire l'article.